Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'autre hachis


Index des rubriques

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


Ailleurs sur Joueb.com
Piratons ?
--> Où j'aimerais être conforté dans la tendance au libre-échangisme...
J'aimerais comprendre les arguments des partisans du libre-échange de la musique (sous forme de mp3 en p2p). Ils se reconnaîtrons.

Et je dis ça en écoutant un album en mp3... C'est triste, j'en suis à chercher à justifier mon attitude illégale immédiate.

A ce que je comprends (mais je n'y comprends pas grand'chose), le principal argument est de dire : la vente de CD ne rapporte vraiment qu'aux artistes sur-médiatisés qui squattent les play-lists des radios qui comptent auprès des foules adolesco-consommatrices (NRJ et consort). En revanches, les petits nouveaux qui galèrent ne sont pas réellement aidés par les maisons de disques et ne peuvent pas vivre de leur création. De plus, les maisons de disques ne font pas assez pour les détecter, ces nouveaux talents.

Le système alternatif soutenu par les libre-échangistes rétribue les artistes par leur seules prestations scéniques. L'accès au public leur est favorisé par la possibilité qu'ils ont de toucher ce public par la gratuité d'accès à leur production.

Certes, maintenant analysons mon modeste cas. Je suis un consommateur de musique. Je dois ne pas être loin de la moyenne. Mais voilà, depuis quelques temps, je ne vais plus du tout aux concerts (aller, je suis allé à Rock en Seine, en 2004). Alors voilà, je me contente de musique enregistrée. Est-ce seulement avec mes 50 à 100€ par an (multipliés par le nombre de consommateurs) que les artistes peuvent être payés ?

Peut-être. Mais je n'en suis pas convaincu.

L'argument, c'est de dire que c'est bien l'intermédiaire, c'est-à-dire la maison de disque, qui "parasite" le lien économique entre le public et les artistes. C'est peut-être du bon sens, mais j'aimerais avoir les chiffres qui permettent de le prouver.

Qu'en est-il vraiment ?

D'autant plus qu'un écart entre la gratuité de la musique enregistrée et le caractère payant du spectacle vivant risque de creuser une fracture culturelle. De nos jours, qui va à l'opéra à part les classes aisées ? Dites moi, je suis curieux.

J'aimerais que ce système alternatif remplace l'industrie actuelle, rien que pour la liberté des artistes à toucher tout le monde, droit qui n'est pas respecté en pratique, puisque les circuits classiques sont inaccessibles aux artistes qui ne sont pas formatés (je rappelle que la play-list de NRJ est définie par mini-sondage téléphonique au cours duquel on fait entendre 8s de chaque morceau à un adolesco-consommateur, au terme desquelles il doit établir si c'est un morceau attirant ou pas).
Ecrit par achy, à 16:37 dans la rubrique "Politique".

Commentaires :

  cloreen
08-05-05
à 15:52

hum ?

J'ai pas tout compris à ton article, ni surtout à ton opinion
Je n'en ai moi-même, pas de construite, d'opinion.

Sauf que que je télécharge très peu de mp3 (je pense en avoir au grand maximum 100 sur mon disque, donc bien 10 maxi que j'aurais vraiment téléchargé) et que je n'écoute jamais), et qu'en revanche j'uploade du mp3 fait par moi et parfois je fais du mp3 à partir de mes CD pour faire partager mes découvertes.
Là où je suis encore le moins en règle, c'est sur la musique que je fais moi, que je n'ai pas le droit de vendre à la fin des concerts, puisque je ne suis pas déclarée à la sacem.

Enfin tout ça n'est pas bien grave puisque je ne fais plus de concert.

une opinion http://www.ratiatum.com/p2p.php?article=2176



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom